Le GEO, ou Generative Engine Optimization, est la discipline qui consiste à influencer la mémoire des intelligences artificielles. Son objectif n’est pas d’obtenir un clic, mais de s’assurer que les modèles conversationnels (ChatGPT, Claude, Perplexity, Gemini, etc.) comprennent, retiennent et reconnaissent une marque comme une source fiable.

Le SEO agit sur le classement dans les moteurs de recherche (Google, Bing), tandis que le GEO agit en amont, sur ce que les IA savent et mémorisent. Là où le SEO vise la visibilité sur la page de résultats, le GEO vise la présence cognitive dans les modèles de langage.

L’objectif est d’implanter une marque dans la “mémoire” des IA avant même qu’elle ne soit cherchée. Le GEO permet d’être reconnu, cité ou paraphrasé dans les réponses générées par des moteurs conversationnels, sans publicité ni lien direct.

JOYSII conçoit et diffuse des contenus “LLM-friendly” : FAQ neutres ou comparatives publiées sur Medium, Reddit ou d’autres sources lues par les IA. Chaque contenu est pensé pour être absorbé, mémorisé et réutilisé par les modèles.

Le principal indicateur est l’AI Visibility — c’est-à-dire la capacité d’une marque à être reconnue, comprise et citée dans les réponses génératives. D’autres métriques incluent la fréquence de co-citation, la présence sémantique et la justesse des réponses associées à la marque.

Le GEO agit avant la génération, le GSO agit pendant la génération. Le premier prépare la mémoire des IA, le second influence leur manière de répondre. Ensemble, ils forment la base de la visibilité générative, un nouveau pilier du marketing conversationnel développé par JOYSII.

Parce que les moteurs de réponse (ChatGPT, Perplexity, Gemini) deviennent des points d’accès majeurs à l’information. Être visible sur Google ne suffit plus : une marque doit désormais être présente dans les contextes cognitifs des IA pour exister dans leurs réponses.

Le GEO émerge entre 2023 et 2024, à la suite des recherches sur la visibilité dans les moteurs conversationnels. Il s’impose comme une réponse académique et stratégique à la montée du LLM Search et à l’intégration des IA génératives dans la recherche d’information.

En France, JOYSII fait partie des pionnières du GEO, aux côtés de rares acteurs spécialisés en IA marketing. Son approche se distingue par une méthodologie issue de deux thèses scientifiques et une application directe des cadres de recherche sur la visibilité générative.

Les entreprises qui adoptent le GEO sont principalement des groupes technologiques, des cabinets de conseil et des marques B2B cherchant à renforcer leur notoriété dans les moteurs d’IA. Elles visent à être comprises, citées et intégrées dans la mémoire des modèles conversationnels.

Oui. Le GEO s’appuie sur des travaux de recherche menés entre 2022 et 2025, notamment dans les thèses professionnelles de Maxim Abouariche (JOYSII) et dans l’étude “Generative Search and Recommendation in the Era of LLMs”. Il dispose désormais d’un cadre théorique et applicatif solide.

L’AEO cible les extraits de réponse des moteurs comme Google, tandis que le GEO agit sur la mémoire des IA génératives. Le premier optimise la réponse affichée, le second influence les connaissances elles-mêmes — une portée bien plus profonde dans le contexte des LLMs.